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Message  Yopidouwa Mar 15 Jan - 0:24

Yopidouwa !!!

Je vous propose a tous de rajouter ici même vos travaux de groupe pour permettre un partage facile et rapide pour toute la classe.

Voili voilou ... Cédric

Yopidouwa

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Message  Yopidouwa Mer 16 Jan - 15:16

Groupe de Sandra Fadi :

Le système cardio-vasculaire

Introduction
Le sang est un tissu qui assure plusieurs fonctions. Pour assurer ces fonctions, le sang doit circuler dans tout l’organisme. Cette circulation est organisée en circuit fermé et dans un seul sens. Elle est assurée par le système cardio-vasculaire. Ce système comprend une double pompe, le coeur, et un réseau étendu de tuyaux qui partent de la pompe et reviennent à la pompe, les vaisseaux sanguins.
Le coeur
Le coeur est un organe musculaire creux. Il a la taille d’un poing fermé de son propriétaire. Il se situe dans la cage thoracique, entre les poumons, le sternum et la colonne vertébrale.
Le coeur est divisé en 2 cavités. On parle du côté droit ou gauche du coeur car les 2 cavités ne communiquent pas directement entre elles. Chaque cavité est subdivisée en une oreillette et un ventricule. A la jonction entre l’oreillette et le ventricule est située une valve qui peut être ouverte ou fermée.
La figure 1 présente une coupe longitudinale du coeur.
BIO : Travaux de groupe 84156269rc6

Le gros vaisseau qui part du ventricule droit est appelé « artère pulmonaire » car le sang qui y circule se dirige vers les poumons. Les vaisseaux qui arrivent à l’oreillette gauche sont appelés « veines pulmonaires ». Le gros vaisseau qui part du ventricule gauche est appelé « artère aorte ». Les vaisseaux qui arrivent à l’oreillette droite sont appelés « veine cave supérieure » et « veine cave inférieure ».
Le côté gauche du coeur contient du sang oxygéné, le côté droit du sang désoxygéné.

Les vaisseaux sanguins
Il y a 3 types principaux de vaisseaux sanguins : les artères, les veines et les capillaires.
Les artères sont les vaisseaux sanguins qui transportent le sang depuis les ventricules (voir figure 1) vers toutes les cellules de l’organisme. Les artères ont des parois élastiques car le sang qu’elles transportent est sous haute pression.
Les veines sont des vaisseaux sanguins plus étroits que les artères, mais plus larges que les capillaires. Elles ramènent le sang des organes vers les oreillettes (voir figure1).
Les capillaires sont des vaisseaux sanguins minuscules. Ils relient les artères et les veines aux cellules et tissus de l’organisme. C’est à travers les parois des capillaires que se font les échanges de matière entre le sang et l’organe parcouru par les capillaires.
Les artères doivent se ramifier plusieurs fois pour devenir des capillaires ; un des stades de ramification intermédiaires est appelé « artérioles ». De même, les capillaires doivent confluer plusieurs fois entre eux pour devenir des veines ; un des stades intermédiaires est appelé « veinules ».
La figure 2 présente les 5 types de vaisseaux dont il est question ci-dessus.
BIO : Travaux de groupe 28900459wa7

Le sang et ses fonctions
Le sang est constitué de 4 éléments : le plasma, les globules rouges, les globules blancs et les plaquettes.
Le plasma est le liquide dans lequel sont dissous les nutriments, le dioxyde de carbone, des hormones et divers produits et déchets de l’activité cellulaire. Le plasma transporte les cellules sanguines et les plaquettes (voir ci-dessous). Les liquides interstitiels, que l’on retrouve dans tout l’organisme, sont d’origine plasmatique.
Les globules rouges (ou érythrocytes) sont de petites cellules sans noyau, colorées par un pigment, l’hémoglobine. L’hémoglobine a pour rôle essentiel la fixation et le transport de l’oxygène. Les globules sont formés dans la moelle rouge des os.
Les globules blancs (ou leucocytes) sont de tailles, formes, origines et fonctions variables. Ils interviennent dans la défense de l’organisme contre les agents infectieux. C’est le système immunitaire. Ils sont également formés dans la moelle osseuse.
Les plaquettes sont des fragments de cellules. Elles interviennent dans la coagulation du sang. Après la coupure d’un vaisseau sanguin, les plaquettes stoppent l’hémorragie par formation d’un bouchon et créent une fondation pour le nouveau tissu à fabriquer.
Tous ces éléments ont une vie éphémère, ils sont continuellement renouvelés et détruits essentiellement par la rate.

La circulation
La circulation du sang est organisée en 2 temps, la circulation pulmonaire et la circulation systémique. La figure 3 illustre les 2 circuits.
BIO : Travaux de groupe 33560926wx6

La circulation pulmonaire (ou « petite circulation ») a pour seul rôle de faire entrer le sang en contact étroit avec les alvéoles des poumons pour que les échanges gazeux puissent se produire. Le « circuit pulmonaire » commence dans le ventricule droit du coeur et se termine dans l’oreillette gauche. Lors de la contraction des ventricules, le sang désoxygéné issu du ventricule droit passe par l’artère pulmonaire ; l’artère pulmonaire se ramifie en capillaires qui tapissent les alvéoles pulmonaires ; après le passage des alvéoles, les capillaires convergent et forment finalement les veines pulmonaires qui ramènent le sang oxygéné vers l’oreillette gauche.
La circulation systémique (ou « grande circulation ») fournit à tous les tissus de l’organisme leur irrigation fonctionnelle, autrement dit, elle leur apporte de l’oxygène, des nutriments et d’autres substances essentielles, et elle les débarrasse du gaz carbonique et des autres déchets métaboliques. Le « circuit systémique » commence dans le ventricule gauche du coeur et se termine dans l’oreillette droite. Lors de la contraction des ventricules, le sang oxygéné issu du ventricule gauche passe par l’artère aorte ; les ramifications de l’artère aorte amènent le sang au contact de toutes les cellules de l’organisme (exceptés les poumons); après le passage d’un organe, les capillaires convergent et forment finalement les veines caves qui ramènent le sang désoxygéné vers l’oreillette droite.
Les 2 ventricules se contractent simultanément et éjectent ainsi le sang dans les artères. Lors de la contraction des ventricules, les valves qui séparent les oreillettes des ventricules (voir figure 1) se referment sous la pression exercée par le sang ; ceci prévient un renvoi du sang dans les oreillettes ; le bruit de fermeture de ces valves constitue le premier des 2 sons caractéristiques produits par le coeur lors d’un battement. Les entrées des artères sont munies d’une valve qui s’ouvre sous la pression exercée par le sang lors de la contraction des ventricules et se referme ensuite, ce qui prévient un retour du sang dans les ventricules. Le bruit de fermeture des valves artériennes constitue le second son caractéristique produit par le coeur lors d’un battement.

Yopidouwa

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Message  Yopidouwa Mar 5 Fév - 20:36

Groupe de Rotsaert Hyacinthe :

Le système respiratoire

Nous inspirons et expirons chaque jour près de 20 000 litres d’air. Cette activité permet d’une part, de fournir à l’organisme l’oxygène dont il a besoin pour oxyder les aliments et libérer de l’énergie ; et d’autre part, d’expulser les gaz carboniques, principal déchet produit durant le processus.

La respiration de l’homme est divisée en 2 grands ensembles :
• La respiration macroscopique
• La respiration microscopique

La respiration se déroule tout d’abord de manière macroscopique et concerne un ensemble d’organes aussi utiles les uns que les autres tels que la bouche, les fosses nasales, le pharynx, l’épiglotte, le larynx, la trachée artère, les poumons, les bronches, les bronches secondaires, les bronchioles, les lobules pulmonaires.

La respiration microscopique va, quant à elle, concerner l’aboutissement de la respiration en venant jouer son rôle propre au sein même des cellules du corps humain.

Pour permettre ce passage entre la respiration macroscopique et la respiration microscopique, le corps humain a besoin d’un support. Ce support doit être rapide, complet et variable selon le besoin. Le système sanguin convient parfaitement en tant que support pour le passage de l’une à l’autre respiration. En effet, il peut transporter l’oxygène grâce aux globules rouges (ou plus précisément à l’hémoglobine que contient les globules rouges) partout dans le corps humain. Il permet également de renvoyer les « déchets » de la respiration (le CO2) au niveau macroscopique.

Pour rendre le plus intelligible possible ce travail, nous allons le diviser en plusieurs parties correspondant aux phases qui se succèdent lors de la respiration :

A. Le passage de l’air dans le corps jusqu’aux poumons.
B. Le passage de l’air des poumons jusqu’au sang.
C. Le transport de l’air via le système sanguin.
D. Le passage de l’air du sang jusqu’aux cellules.
E. Le trajet retour de la respiration.


A) Le passage de l’air dans le corps jusqu’aux poumons.

L’air inspiré par l’homme contient en réalité : 78% d’azote, 21% d’oxygène, quelques traces de gaz carbonique (CO2) et d’autres gaz en très petites quantités.
Cet air passe par les fosses nasales et/ou la bouche pour s’engouffrer dans le pharynx. On arrive ensuite à un endroit relativement important qui est l’épiglotte. Celle-ci va en effet servir à ne laisser rentrer dans son conduit que de l’air. Une fois le conduit ouvert, l’air entre dans le larynx, puis dans la trachée artère. Celle-ci va se diviser en deux tuyaux, chacun menant respectivement aux deux poumons.

BIO : Travaux de groupe Sanstitre1wg8

Il est important de souligner le fait que les poumons ne sont pas des muscles mais plutôt des sacs organiques contractés et décontractés par plusieurs muscles dont le plus important est celui que l’on appelle le diaphragme. Celui-ci va permettre l’inspiration et l’expiration.
L’inspiration est appelée « phase active » de la respiration étant donné qu’elle requiert la contraction du diaphragme et des muscles intercostaux, et permet ainsi le gonflement des poumons. C’est ce que la différencie de l’expiration où les muscles concernés se relâchent. C’est pour cette raison qu’on la qualifie de « phase passive ».

BIO : Travaux de groupe Sanstitre2pk8


B) Le passage de l’air des poumons jusqu’au sang
L’air, une fois rentré dans les poumons, va se retrouver dans une bronche (une seule par poumon). Cette bronche va ensuite se ramifier en bronches secondaires puis finalement en bronchioles. Les bronchioles vont apporter l’air dans les lobules pulmonaires contenant elle-même un groupe d’alvéoles. L'alvéole est la partie fonctionnelle du poumon. Ce sont ces groupements qui vont permettre le transfert de l’air dans le sang véhiculé dans tout le corps humain. L’air qui rentre dans les lobules pulmonaires est donc riche en O2 et pauvre en CO2 pour en sortir pauvre en O2 et riche en CO2.

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C) Le transport de l’air via le système sanguin

Le sang est donc le moyen de transport principal de l’air. En effet, il va permettre de transporter l’oxygène jusqu’aux tissus humains mais également de rejeter le CO2 dont il ne se sert pas, le CO2 étant en réalité un déchet créé par le corps humain dû à l’utilisation de l’oxygène (nous y reviendrons dans la partie concernant la respiration cellulaire). Le transport du gaz est réalisable via le sang et plus précisément via des protéines transporteuses dont la principale est l’hémoglobine (Hb) située dans les globules rouges. Malgré cela, le sang ne sait pas lui-même aller dans toutes les parties du corps humain, il lui faut un propulseur ou encore un moteur. C’est le rôle joué par le cœur qui va séparer proprement ses canalisations en deux grandes boucles.


D) Le passage de l’air du sang jusqu’aux cellules

L’oxygène contenu dans le sang se dissocie pour passer dans le liquide interstitiel, puis dans l’ensemble des cellules du corps que forment les tissus.
A l’intérieur de la cellule, une réaction chimique d’oxydo-réduction fournit l’énergie nécessaire à son fonctionnement.

C6H12O6 + 6O2 → 6CO2 + 6H2O + énergie

Cette réaction s’effectue en plusieurs étapes au sein des mitochondries ainsi que dans le cytoplasme. La membrane interne des mitochondries renferme les enzymes nécessaires aux diverses réactions de la chaîne respiratoire. Cette chaîne est composée de plusieurs réactions d’oxydoréduction qui sont alimentées par l’O2 de la respiration ainsi que par des composés organiques venant de l’alimentation. Ces mêmes réactions permettent la production d’énergie de gaz carboniques et d’eau.


E) Le trajet retour de la respiration

Il faut savoir qu’une fois l’oxygène consommé par les tissus et leurs cellules, ces derniers vont rejeter leur CO2 dans le sang via les globules rouges et ses hémoglobines.
Une fois remonté au niveau des poumons dans les capillaires pulmonaires grâce à l’action du cœur, le CO2 est rejeté dans les lobules pulmonaires et renvoyé par l’action de l’expiration à l’extérieur du corps via les mêmes canaux utilisés par l’inspiration. Le cycle de la respiration est bouclé !

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Message  Yopidouwa Mar 5 Fév - 20:51

Groupe de Guillemotte Perrine :

Le système reproducteur et le système excreteur

1. APPAREIL REPRODUCTEUR
L'appareil reproducteur d'un organisme est le système corporel constitué de toutes les parties affectées aux fins de reproduction. Chez les organismes sexués, on parle des organes sexuels ou des organes génitaux, ou encore des caractères sexuels primaires. Ils incluent les fonctions de l'insémination et de la fécondation ; chez les hauts vertébrés on y ajoute la gestation et la parturition (naissance, mise bas ou ponte).
Une gonade est un organe qui produit les gamètes, ou cellules sexuelles. Chez les animaux sexués, on dit ovaire pour la gonade femelle et testicule pour la gonade mâle.
Appareil reproducteur de l'être humain
Chez l'être humain, la représentation et la figuration des organes génitaux internes de la femme notamment a beaucoup évolué au grès des connaissances sur la fécondation 1. Les organes jouant un rôle sexuels sont nombreux, incluant système hormonal, cerveau et zones érogènes dont le fonctionnement et les interrelations sont encore mal compris, mais les organes reproducteurs et directement associés proprement dits incluent chez l'être humain :
Appareil reproducteur de la femme
BIO : Travaux de groupe Sanstitre1xe8

Système reproducteur féminin : 1. Trompes de Fallope 2. Vessie 3. Symphyse pubienne (Os pubien) 4. Point G 5. Clitoris 6. Méat urétral 7. Vagin 8. Ovaire 9. Colon sigmoide 10. Utérus 11. Cul-de-sac vaginal (Fornix) 12. Col de l'utérus (Cervix) 13. Rectum 14. Anus

• chez la femme :
o vulve
 clitoris
 grandes lèvres
 petites lèvres
o vagin
 col
o utérus
o trompes de Fallope
o ovaires
o glandes de Skene
o glandes de Bartholin

Appareil reproducteur de l'homme
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Système reproducteur masculin : 1. Vessie 2. Symphyse pubienne (Os pubien) 3. Pénis 4. Corps caverneux 5. Gland 6. Prépuce 7. Méat urétral 8. Colon sigmoide 9. Rectum 10. Vésicule séminale 11. Canal éjaculateur 12. Prostate 13. Glande de Cowper 14. Anus 15. Canal déférent 16. Épididyme 17. Testicule 18. Scrotum
• chez l'homme :
o pénis
 prépuce
 gland
o testicules (dans les bourses)
o prostate
o vésicules séminales
o épididymes
o glandes de Cowper





2. APPAREIL EXCRÉTEUR

2.1 Les différents organes excréteurs.
- débarrassent le sang de l’urée (entre autres) qui est éliminée par l’urine.
- sécrètent la sueur.
- rejettent la vapeur d’eau et le dioxyde de carbone.
- déverse dans le sang l’urée et les substances toxiques qu’il transforme.

2.2 L’appareil urinaire.

 Retiennent l’eau, l’urée, les sels minéraux en excès et filtrent le sang.
 Amène le sang jusqu’aux reins.
 Ramène le sang dans la circulation générale.
 Sont des canaux de 25/30 cm qui conduisent l’urine dans la vessie.
 Est un réservoir d’attente de l’urine.
 Est le canal excréteur par lequel l’urine est rejetée.
Chez la femme, les voies urinaires (urètres) sont distinctes des voies génitales alors que chez l’homme, l’urètre débouche à l’extrémité du pénis et est commun aux voies génitales et urinaires.
BIO : Travaux de groupe Sanstitre3xf7BIO : Travaux de groupe Sanstitre4yh5

Le phénomène de la nutrition entraîne la formation de déchets qui ne peuvent s'accumuler sans danger dans notre corps. L'excrétion a pour but de débarrasser l'organisme de ces déchets
Comme on vient de le dire plus haut, cette élimination se fait sous forme d'urine.
L'appareil urinaire comprend deux parties :
1) Les glandes sécrétrices ou reins (au nombre de deux) qui filtrent le sang pour en extraire l'urine
2) L'appareil excréteur, formé des uretères qui conduisent l'urine dans la vessie, d'où elle est rejetée au dehors par un canal appelé urètre.



Formation de l’urine et structure de l’appareil excréteur
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Message  Yopidouwa Mar 5 Fév - 21:05

Groupe de Touijar Scheema

Les glandes endocrines

Définition

Qu'est-ce que le système endocrinien?
Le système endocrinien est composé de glandes qui ne sont pas dotées de canaux et d'autres structures semblables. Les glandes endocrines comprennent les ovaires, les testicules, les glandes thyroïde, parathyroïdes et surrénales, l'hypophyse, l'épiphyse cérébrale, le pancréas ainsi que des cellules du tube digestif et le placenta. Les glandes endocrines sécrètent des substances chimiques appelées hormones, alors que les autres glandes de l'organisme produisent d'autres substances ou liquides; par exemple, les glandes lacrymales sécrètent les larmes, les glandes salivaires produisent la salive et les glandes sudoripares sécrètent la sueur.
BIO : Travaux de groupe Sanstitre1gr7

Les hormones (aussi appelées « messagers chimiques ») qui sont produites par les glandes endocrines pénètrent dans les capillaires (et les vaisseaux lymphatiques) de l'appareil circulatoire. Elles se déversent dans la circulation sanguine jusqu'à des « récepteurs » spécifiques situés dans les organes ou les systèmes cibles, où elles peuvent déclencher leurs effets biologiques.
Le système endocrinien est important parce qu'il coordonne et régule nombre des fonctions essentielles de l'organisme, comme :
• la croissance et le développement
• le comportement
• la reproduction et le développement de l'embryon
• la production, l'utilisation et le stockage de l'énergie
• l'équilibration et le maintien électrolytiques (eau et sel) dans l'organisme
• la réaction aux stimuli (par ex. peur, agitation).



Le système endocrinien
Pourquoi le système endocrinien est-il important?
Le système endocrinien régule nombre des fonctions de l'organisme, tant des réactions immédiates que des fonctions permanentes. Les hormones stabilisent ou équilibrent les fonctions de l'organisme. Les concentrations hormonales sont à leur tour influencées par les stimuli auxquels l'organisme est exposé et sont régies par des mécanismes complexes de rétroaction. Toute perturbation de cet équilibre peut occasionner des changements dans le développement, la croissance, la reproduction ou le comportement qui peuvent avoir des conséquences pour l'animal ou l'être humain ou la génération suivante.
Certaines substances présentes dans la nature ou produites par l'homme peuvent agir sur le système endocrinien. Par exemple, des substances chimiques d'origine végétale (phytoestrogènes) ont des effets qui rappellent ceux de l'œstrogène. Certains médicaments ou polluants du milieu peuvent imiter ou au contraire bloquer l'activité de certaines hormones. Si la communication normale entre l'hormone « messagère » et les récepteurs cellulaires est perturbée, le message chimique est mal interprété et l'organisme réagit par une réponse anormale.
La compréhension du rôle du système endocrinien (et des hormones produites par ces glandes) dans le fonctionnement normal de l'organisme vous donne une idée des types de problèmes qui peuvent survenir quand le système endocrinien est déréglé. Par ailleurs, nombre d'organes agissent sur d'autres organes et, compte tenu de ces interactions très complexes, il est extrêmement difficile de définir ou de prévoir les effets des perturbateurs.


Listes des principales glandes endocrines chez les vertébrés

1. hypophyse : l’hypophyse ou glandes pituitaire est une glandes endoctrine qui se trouve dans une petite cavité osseuse à la base du cerveau, la selle turcique. Elle est reliée à une autre partie du cerveau appelé l’hypothalamus. Elle produit des hormones qui gèrent une large gamme de fonctions corporelles, dont les hormones trophiques qui stimulent les autres glandes endocrines. Cette fonction inspirait les scientifiques à l’appeler la « glande maîtresse » du corps, mais aujourd’hui on sait que l’hypophyse est régulée par les hormones (neuro-hormones) émises par l’hypothalamus.
BIO : Travaux de groupe Sanstitre2ty2


2. les glandes surrénales : chez les mammifères et les oiseaux, les glandes surrénales ou plus simplement les surrénales sont deux glandes endocrines triangulaires situés au-dessus des reins. Elles sont principalement responsables de la gestion des situations des stress via la synthèse de corticostéroïdes et de catécholamines, entre autres le cortisol et l’adrénaline.
BIO : Travaux de groupe Sanstitre3ut1


3. la thyroïde : la thyroïde ou glande thyroïde est la plus volumineuse des glandes endocrines. Les hormones thyroïdiennes ne peuvent être produites sans l’action de deux autres glandes : l’hypophyse, située au centre du crâne, et l’hypothalamus qui correspond à une petite région du cerveau. La glande thyroïde a aussi besoin de matière première : elle utilise un élément naturel, l’iode, qu’elle capte dans l’alimentation, notamment dans les algues, le poisson, les crustacés, le soja, les haricots verts et les laitages, là où on la trouve en grande quantité. Une alimentation équilibrée apporte environ 100 microgrammes d’iode par jour, la quantité nécessaire à une fabrication suffisante d’hormones thyroïdiennes.
Les hormones thyroïdiennes ont de nombreuses fonctions. Elles interviennent dans le métabolisme des graisses, celui du sucre et des protéines. Elles jouent un rôle dans la régulation de l’ossification et favorisent la maturation des cartilages de croissance.
BIO : Travaux de groupe Sanstitre4fe1


4. ovaire ou testicule :
• Les ovaires sont deux glandes génitales situées de chaque côté de l’utérus de la femme. Ils produisent les ovules et les hormones sexuelles féminines, "les œstrogènes et la progestérone". Ce sont donc des glandes mixtes, endocrines et exocrines (comme le pancréas ou les testicules). Ils constituent avec l'utérus et les deux trompes de Fallope l’appareil génital interne féminin. La forme des ovaires rappelle celle d’une amande en deux fois plus gros (4 cm de longueur, 2 cm de largeur, 1 cm d’épaisseur). Ils sont situés entre l’utérus et la paroi du bassin. L'ovaire est le seul organe posé dans la cavité péritonéale sans être recouvert de péritoine.
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• Comme les ovaires auxquels ils sont homologues, les testicules font partie de l’appareil reproducteur (en tant que gonades) et du système endocrinien (en tant que glandes endocrines). Leurs fonctions sont la reproduction des spermatozoïdes et la production des hormones sexuelles mâles, surtout la testostérone.
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5. la parathyroïde : ce sont de petites glandes rattachées à la glande thyroïde, généralement au nombre de quatre, parfois jusqu'à huit situées dans le cou, qui sécrètent la parathormone favorisant la régulation des taux de calcium et de phosphore dans le sang.
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6. le thymus : depuis qu’il a été décrit par Galien (130-200 après JC), et malgré les 2000 ans d’histoire qui se sont écoulés, le thymus reste un organe mystérieux. Le mot thymus vient de la dérivation latine du grec thymos, signifiant excroissance verruqueuse. Cependant thymos désigne aussi l’esprit ou l’âme. Ainsi, Galien et les grecs pensaient que l’esprit ou l’âme était localisé dans le thymus. Son activité et sa taille sont maximales au cours de la puberté, avant d’involuer à l’âge adulte. Le thymus joue un rôle très important dans la mise en place du système immunitaire chez l’enfant en assurant la maturation des lymphocytes T aussi appelés thymocytes.
BIO : Travaux de groupe Sanstitre8hr2


Glossaire

• Glande : organe ayant pour fonction d’élaborer certaines substances et de les déverser sont à l’extérieur de l’organisme ou dans une cavité de celui-ci, généralement par l’intermédiaire d’un canal excréteur, soit dans le sang.
• Parathyroïde : petite glandes rattachées à la glande thyroïde, généralement au nombre de quatre parfois huit situées dans le cou, qui sécrètent la parathormone favorisant la régulation des taux de calcium et de phosphore dans le sang.
• Surrénales : glandes surrénales.
• Hypophyse : glandes endocrines qui se trouvent dans une petite cavité osseuse à la base du cerveau.
• Epiphyse : glande endocrine cérébrale responsable de la production de la mélatonine.
• Lacrymale : glandes qui fabriquent les larmes.
• Lymphocyte : rôle majeur dans le système immunitaire.
• Péritoine : membrane séreuse continue, qui tapisse l’abdomen et ses viscères.
• Péritoine : membrane séreuse continue, qui tapisse l’abdomen et ses viscères.
• Hypothalamus : grappe de cellules nerveuse du cerveau qui contrôle entre autre, grâce à ses liens directs avec l’hypophyse productrices d’hormones.
• Corticostéroïde : glandes stéroïdes naturelles.
• Catécholamines : composés organiques synthétisés à partir de la thyroïde et jouant le rôle d’hormone ou de neurotransmetteur.

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Message  Yopidouwa Mar 5 Fév - 21:08

Groupe de De Beleyr Angélique

Le système musculaire

I. Introduction

Le système musculaire évoque une multitude de muscles qui assurent des fonctions. Quels sont ces muscles ? Comment peut-on les classifier ? Quels sont leurs fonctions ? Toutes ces questions nous allons les aborder dans les lignes qui suivent.


II. Définitions

a) Le système musculaire
Ensemble des muscle présent dans l’organisme qui, en plus de donner à notre corps des formes harmonieuses et esthétiques, assurent des fonctions vitales importantes.

b) Le muscle
Organes ou élément d’organes formé de tissus irritables et contractiles qui assurent des fonctions diverses.


III. Structure du muscle

L’homme est constitué de plus de 600 muscles de structures différentes.

a) Les muscles striés
Ce sont les muscles de la vie de relation. Il font bouger les membres et d’autres parties du corps. Ils sont innervés par le système nerveux somatique ( parfois appelé système cérébro - spinal) et leur contraction est soumise au contrôle de la volonté.
Chaque muscle strié comporte une partie moyenne, le corps charnu et deux extrémités par lesquelles il s’insère ( le tendon en général).
Les propriétés essentielles du muscle sont : l’excitabilité ( contractant), la contractilité ( raccourcir), l’élasticité et la tonicité.


b) Les muscles lisses
Ce sont des muscles dont la contraction échappe à la volonté. Ils sont dit à fonctionnement involontaire. Ils échappent à la commande du système cérébro – spinal ou somatique et ne sont soumis qu’aux indications d’une partie spécial du système nerveux.
On rencontre les muscles lisses dans les viscères creux du type digestif, les voies biliaires, les voies urinaires, les voies respiratoires, l’appareil génital mâle et femelle, les voies sanguines et les téguments ( muscles horripilateurs).


c) Le muscle cardiaque
C’est un muscle strié mais de contraction involontaire.


IV. Structure microscopique des muscles

L’examen au microscope du tissu musculaire montre que celui-ci est composé de cellules qu’en raison de leur forme allongée on nomme fibres musculaires. L’aspect des fibres musculaires est différent pour les muscles striés et les muscles lisses.

a) Les fibres musculaires striées
C’est une cellule allongée de très grande dimension ( elle peut atteindre 15 cm de long). Son cytoplasme contient des éléments particuliers aux cellules musculaires : les myofibrilles. Cet aspect a donné à ces cellules le nom de fibre musculaire striée. Chaque fibre musculaire reçoit un filet nerveux qui commande ses contractions. Le contact entre fibre nerveuse et fibre musculaire s’effectue en une zone particulière de la cellule musculaire, on donne à cette zone le nom de plaque motrice.


b) Les fibres musculaires lisses
C’est une cellule plus petite que la fibre striée. Les fibres musculaires lisses sont disposées en couche perpendiculaires les unes par rapport aux autres dans les parois des organes creux. Le cytoplasme contient également des myofibrilles, mais les myofibrilles de la fibre lisse, contrairement à celle de la fibre striée, sont homogènes et dépourvues de toute striation.

c) Les cellules du muscle cardiaque
Les cellules du muscle cardiaque sont striées et ramifiées. Elles s’imbriquent les unes dans les autres et sont disposées en faisceau spiralés dans le cœur. Leur contraction propulse le sang dans les vaisseaux sanguins.


V. Le rapport muscle/squelette


Les points d’attachent des muscles aux os ou aux autres muscles sont appelés origines ou insertions. Le point d’origine est le point d’attache à l’os qui reste fixe. Le point d’insertion est le point d’attache du muscle à l’os qu’il met en mouvement. En règle générale, les muscles sont fixés par de solides structures fibreuses appelées tendons. Ces fixations relient une ou plusieurs articulations et le résultat de la contraction musculaire est le mouvement de ces articulations. Le corps est mû principalement par des groupes musculaires et non par des muscles individuels. Ces groupes musculaires fournissent la puissance nécessaire à toutes actions.

VI. Lexique

Tégument : n.m BIOL. Ensemble des tissus qui couvre le corps des animaux.

S’imbriquer : Être lié, mêlé d’une manière étroite.

Mû : Du verbe mouvoir . Se mettre en mouvement, bouger.

Yopidouwa

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Message  Yopidouwa Mar 5 Fév - 21:12

Yopidouwa !!!

Je mettrai d'ici peu les derniers travaux que j'ai en ma possession.

Il m'en manque cependant encore le travail sur le système nerveux.

Dès que tout ceci est fait, j'enverrai un mail a tous pour signaler la présence de tous les travaux sur le forum ensuite j'imprimerai puis déposerai les travaux au copy shop.

Voili voilou ... Cédric Smile

Yopidouwa

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Message  Yopidouwa Dim 10 Fév - 19:07

Groupe de Anne Catherine Andre

Le système nerveux

Introduction
Nous possédons un seul système nerveux, mais sa complexité est telle qu’il est difficile d’en considérer toutes les parties simultanément. Pour en faciliter l’étude, on le divise selon ses structures (classification structurale) et selon ses activités (classification fonctionnelle).

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Tout d’abord, la classification structurale : elle englobe tous les organes du système nerveux, comprend deux subdivisions : le système nerveux central (SNC) et le système nerveux périphérique (SNP).Le SNC est formé de l’encéphale, et de la moelle épinière. Il interprète l’information sensorielle qui lui parvient et produit au besoin des réponses motrices. Le SNP quant à lui est la partie du système nerveux situé à l’extérieur du SNC ; il est principalement formé de nerfs issus de l’encéphale (nerfs crâniens) et de la moelle épinière (nerfs rachidiens). Les nerfs du SNP sont des lignes de communication qui relient toutes les parties du corps en transmettant les influx des récepteurs sensoriels au SNC, et du SNC aux glandes et aux muscles approprié.
Ensuite, la classification fonctionnelle : elle s’applique uniquement aux structures du SNP et comprend deux subdivisions : les neurones sensitifs ou afférents qui conduisent les influx nerveux depuis des récepteurs sensitifs situés dans diverses parties du corps jusqu’au SNC et les neurones moteurs ou efférents qui transmettent les influx nerveux depuis le SNC jusqu’au muscles et aux glandes. Cette voie motrice est également subdivisée en deux partie : le système nerveux somatique qui nous permet d’exercer une maîtrise consciente sur nos muscles squelettiques et qu’on appelle souvent le système nerveux volontaire et le système nerveux autonome qui régit les activités automatiques comme celle du muscle cardiaque ou des glandes. Communément appelée le système nerveux involontaire, il comprend deux subdivisions fonctionnelles ; la division sympathique et la division parasympathique.


Protection du système nerveux

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Le tissu nerveux est mou et fragile, une pression même légère peut endommager les neurones irremplaçables dont il est composé. Aux cavités osseuses qui assurent une protection efficace s’ajoutent des gaines membraneuses appelées méninges qui recouvrent et protègent les structures du SNC. Elles sont composées de trois couches qui se prolongent tout au long de la moelle épinière. La dure-mère (méninge externe) est composée de deux couches dont la couche externe qui adhèrent à l’os, la pie-mère (méninge interne) est parcourue de capillaires sanguins et est fermement attachée à la surface de l’encéphale. L’arachnoïde se situe entre la dure-mère et la pie-mère et renferme le liquide céphalo-rachidien qui est une sorte de coussin aqueux protégeant le tissu nerveux des coups et traumatismes.


Structure du système nerveux

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Le cerveau de l’homme pèse entre 1300 et 1500 grammes et est logé dans la boîte crânienne. A sa partie supérieur, le cerveau paraît divisé par un profond sillon longitudinal qui délimite deux parties symétriques appelées les hémisphères cérébraux. La surface des hémisphères cérébraux est parcourue de sillons appelés circonvolutions cérébrales. Certains sillons, plus profonds que d’autres, subdivisent chacun des deux hémisphères en quatre régions que l’on appelle les lobes cérébraux. D’avant en arrière on observe le lobe frontal, le lobe pariétal, le lobe temporal et le lobe occipital.

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Une coupe à travers le sillon médian des deux hémisphères montre la substance grise ou le cortex qui est une mince couche périphérique entourant toute la masse du cerveau et qui pénètre dans toute les irrégularités et qui comprend les corps cellulaires des neurones qui participent au fonctionnement des hémisphères cérébraux. Outre la substance grise, on trouve également la substance blanche (qui est composé de faisceaux de neurofibres qui acheminent les influx issus du cortex ou destiné à lui) et le corps calleux qui est un pont de substance blanche qui réunit les deux hémisphère entre eux et les met en communication.


Le cervelet est situé en arrière et sous le cerveau. Comme le cerveau, il comprend deux hémisphères, présente des circonvolutions et un cortex composé de substance grise et une partie interne composé de substance blanche. Le cervelet a un rôle de coordination des mouvements, il régit notamment l’équilibre et synchronise les contractions des muscles squelettiques.

Le bulbe rachidien est la pièce de raccord entre le cerveau et le cervelet d’une part et la moelle épinière d’autre part. Contrairement au cerveau et au cervelet, ici, la substance grise occupe la partie centrale grâce à d’innombrables entrecroisements de fibres. Il contient de nombreux noyaux qui régissent des fonctions vitales comme la fréquence cardiaque, la pression artérielle ou la respiration.

La moelle épinière prolonge l’encéphale jusqu’à l’extrémité de la colonne vertébrale. C’est un cordon long d’environ 50 centimètres. Enfermée dans la colonne vertébrale, la moelle épinière achemine les influx qui proviennent de l’encéphale et ceux qui se dirigent vers lui. Elle est creusée en son centre d’un mince canal, le canal de l’épendyme, qui contient le liquide encéphalo-rachidien. Les tissus formant la moelle sont de deux types la substance grise située plus au centre et ayant la forme d’un papillon qui est constituée par les corps cellulaires des neurones et la substance blanche située plus à l’extérieure et qui est faite de fibres nerveuses.


BIO : Travaux de groupe Sanstitre5ef5
(Sauvez cette image sur votre ordinateur si vous ne la voyez pas en entier)

Chez l’être humain, 31 paires de nerfs rachidiens naissent de la moelle épinière. Au niveau de chaque intervalle entre deux vertèbres, la moelle donne naissance à deux nerfs rachidiens ; un à gauche et un à droite. Chacun de ces nerfs est formé de la réunion de deux parties : une partie sensitive et une partie motrice. La partie sensitive est reliée au côté dorsal de la moelle tandis que la partie motrice est reliée au côté ventral. La partie sensitive forme à quelques millimètres de la moelle un renflement arrondi appelé ganglion spinal. C’est seulement au delà du ganglion que la racine dorsale sensitive et la racine ventrale motrice, se réunissent en un nerfs mixte. Les racines, les ganglions et le point de rencontre des racines se trouvent dans la cavité de la vertèbre. C’est donc un nerf mixte complet que l’on voit sortir par le trou de conjugaison de chaque côté de l’articulation de deux vertèbres.


Le tissu nerveux

BIO : Travaux de groupe Sanstitre6dr9

Le tissu nerveux est composé de deux types de cellules : les neurones et les cellules gliales. Les cellules gliales, ou gliocytes, forment la névroglie. Le système nerveux contient différentes cellules gliales : les neurolemmocytes, ou cellule de Schwann, forment les gaines de myéline autours des axones du SNP . Dans le SNC, certains neurones sont entourés d’une gaine de myéline fabriquée par une autre cellule gliale : l’oligodendrocyte. On retrouve également dans les cellules gliales, les cellules microgliales qui protègent les neurones contre les bactéries et les astrocytes qui se chargent entre autre de nourrir les neurones.

Les neurones ou cellules nerveuses se chargent de la transmission d’influx nerveux entre les parties du corps. Bien qu’ils puissent présenter des différences de structures , les neurones possèdent tous un corps cellulaire, un axone et une dendrite au moins . Les dendrites sont des prolongements neuronaux qui transmettent les messages vers le corps cellulaires, tandis que les axones produisent et transmettent l’influx nerveux hors du corps cellulaire.
L’axone se divise en des centaines, voire des milliers, de ramifications appelées terminaisons axonales. Les extrémités des terminaisons axonales enflent et deviennent des structures bulbeuses appelées boutons terminaux synaptiques. Ces derniers renferment des vésicules synaptiques qui stockent les neurotransmetteurs qui sont une sorte de messager chimique. Lorsque les influx atteignent les boutons terminaux synaptiques, ils entraînent la libération de neurotransmetteurs dans l’espace extracellulaire (extracellulaire car, bien que rapprochés les neurones ne se touchent jamais).

La plupart des axones longs sont recouverts de myéline, une substance protéique et lipidique qui isole électriquement et augmente la vitesse de conduction de l’influx nerveux. Cette production de myéline est réalisée autour des axones par les cellules de Schwann pendant le développement du fœtus et la première année de la vie. Chaque cellule de Schwann revêt près d’un millimètre de la longueur d’un axone en s’enroulant de nombreuse fois autour de ce dernier (à la manière d’un roulé à la confiture). Comme la gaine de myéline est formée avec plusieurs cellules de Schwann, elle présente des intervalles réguliers appelés nœuds de Ranvier.

BIO : Travaux de groupe Sanstitre7cf9
(Sauvez cette image sur votre ordinateur si vous ne la voyez pas en entier)

On peut classer les neurones selon leur structures ou leur fonction. D’un point de vue fonctionnel, les neurones sont distribués selon le sens de propagation de l’influx nerveux par rapport au SNC. On y retrouve les neurones sensitifs ou afférents qui transmettent l’influx des récepteurs sensoriels vers le SNC, les neurones moteurs ou efférents qui véhiculent les influx depuis l’encéphale et la moelle épinière vers les muscles et les glandes et les neurones d’associations qui transmettent l’information d’un neurone à l’autre. Au niveau de la structure, la classification tient compte du nombre des prolongements partant du corps cellulaire. Il existe des neurones multipolaires qui possèdent plusieurs prolongements, des neurones bipolaires qui possèdent une dendrite et un axone et les neurones unipolaires qui ne possèdent qu’un seul prolongement.

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Physiologie du système nerveux
Les neurones possèdent deux propriétés fonctionnelles : l’excitabilité, c’est-à-dire la capacité à réagir à un stimulus et à le convertir en influx nerveux, et la conductivité, c’est-à-dire la capacité de propager cet influx nerveux et de le transmettre à d’autres neurones, à des muscles ou à des glandes.
La membrane plasmique d’un neurone maintient un gradient (une différence) électrochimique entre l’extérieur et l’intérieur de la cellule. Le gradient chimique est du au fait que la membrane maintient des compositions différentes dans le cytoplasme cellulaire et dans le liquide extra cellulaire. Les principaux ions positifs à l’intérieur de la cellule sont les ions potassium (K+), tandis que les principaux ions positifs à l’extérieur de la cellule sont les ions de sodium (Na+). Le gradient électrique est du au fait que la surface interne de la membrane est plus négative que la surface externe. Il en résulte une tension électrique appelée le potentiel de membrane. Cette séparation de charges électriques est mesurée en millivolts. Plus la différence de charges de part et d’autre de la membrane est importante, plus le potentiel de membrane est élevé. Dans les neurones, le potentiel de repos (inactif) a une valeur de -70 millivolts.

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Lorsqu’un stimulus atteint les dendrites ou le corps cellulaire d’un neurone, il provoque une petite modification du potentiel de membrane. En fait, la perméabilité de la membrane plasmique se modifie pour un bref laps de temps. Normalement, les ions de sodium ne peuvent diffuser dans la cellule, mais lorsque le neurone est adéquatement stimulé, les canaux du sodium de la membrane s’ouvrent à la manière d’une vanne. Les ions de sodium s’engouffre dans la cellule, ce qui modifie la polarité de la membrane : l’intérieur devient plus positif et l’extérieur moins positif. Ce phénomène appelé dépolarisation provoque la production d’un potentiel d’action. Chaque neurone a un seuil d’excitation, c’est-à-dire un niveau de dépolarisation qui doit être atteint ou dépassé pour que le potentiel d’action se déclanche. Ce potentiel d’action va se propager de lui-même le long de l’axone. En effet, il déclenche une dépolarisation supérieur au seuil d’excitation dans les zones adjacentes, ce qui déclanche un potentiel d’action qui dépolarise à son tour les régions voisines et ainsi de suite.


Presque immédiatement après l’entrée des ions de sodium dans le neurone, la perméabilité de la membrane change de nouveau. Cette fois, la membrane devient imperméable aux ions de sodium. Les ions de potassium peuvent alors diffuser hors de la cellule. Cet écoulement d’ions positifs vers l’extérieur de la cellule rétablit la polarité de la membrane. Ce retour à l’état de repos est appelé repolarisation. Par la suite une pompe à sodium et à potassium rétablit les concentrations initiales des ions à l’intérieur et à l’extérieur du neurone.
L’intensité du stimulus n’intervient pas pour déterminer la vitesse de l’influx, ce sont le diamètre de la fibre nerveuse et la présence ou l’absence de myéline qui impotent. L’influx se propage beaucoup plus rapidement dans les neuro-fibres recouvertes de myéline, car il saute d’un nœud de Ranvier à l’autre. En effet, le courant ne peut traverser la couche isolante formée par la myéline autour de la membrane de l’axone.

Nous avons vu plus haut que les neurones ne se touchaient pas, donc comment l’influx se transmet-il à un autre neurone ou à une cellule effectrice ? En d’autre terme qu’en est-il de la conductivité ? Quand le potentiel d’action atteint les terminaisons axonales, les vésicules synaptiques libèrent une substance chimique appelée neurotransmetteur qui diffuse dans la synapse et se lie à des récepteurs spécifiques situés sur la membrane du neurone voisin. La membrane plasmique d’un bouton terminal est la membrane présynaptique. Elle se trouve à proximité de la membrane postsynaptique, qui est une partie d’une dendrite ou d’un corps cellulaire d’un autre neurone ou encore une partie de la surface d’une cellule musculaire ou glandulaire. Entre la membrane présynaptique et la membrane postsynaptique se trouve une fente synaptique. Si la quantité de neurotransmetteurs est suffisante, la perméabilité de la membrane postsynaptique se modifie et laisse entrer les ions calcium ce qui modifie le potentiel électrique de la membrane et déclenche un potentiel d’action et donc un influx nerveux qui va courir le long de la cellule touchée.

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Message  Yopidouwa Dim 10 Fév - 19:14

Groupe de Majda Achab

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Message  Yopidouwa Dim 10 Fév - 19:36

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Le squelette

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